> **nyxam écrivait:**
>
> Rectification de derniere minute:les trottoirs de
> Paris ressemblent de plus en plus a Tunis puisque
> les milliers de clandés échoués a Lampedusa
> recoivent des visas-cadeaux-bonux-shengen
> direction Paris par l´Italie et contre la
> volonté de Paris ou de Berlin.Effectivement elle
> est belle la souveraineté des etats dans l´UE ou
> un pays decide pour l´autre de ceux qu´il doit
> accueillir, et cela va etre logiquement pour
> certains la gueule de bois un ceratin matin
> d´avril 2012...
Dire cela est trop facile autant que fantaisiste. Après le discours propagande sur la sécurité, l'infaillibilité du système Biélorusse contre toute forme de criminalité, l'exemplarité de Minsk dans son hygiénisme et ce qui vient de se passer dans le métro de Minsk, il faudrait juste avoir un minimum de descence sur la régularité de vos attaques - fantasmes contre votre propre pays en comparaison avec l'aveuglement permanent dont vous faîtes preuve vis à vis d'un système qui montre toutes ses limites. Et demander de plus des comptes à Levosgien me semblerait plus approprié, lui qui nous la ramène sans cesse avec sa peur au ventre dès qu'il emprunte un trottoir français comparée à la sérénité Bélarusse; Maintenant que des gens ont perdu la vie dans un attentat que la léthargie imposée par le pouvoir Biélo à la société Bélarusse vous a empêché de voir arriver (naïveté confondante de stupidité) il va peut-être falloir arrêter votre voilage de face. Est-ce que le Bélaruss est par nature calme, ou est-ce seulement une cocotte minute qui couve de son oppression latente pour les uns et effective pour les autres et qui va finir par vous exploser à la face? Ne m'envoyer pas la détestation comme leurre à une réponse que je n'ai pas non plus. Mais la question mérite d'être posée et pas esquivée, fui, détournée avec vos slogans et vos brèves de comptoirs qui ne persuadent que vous-même.
Nyxam, soit vous êtes à Paris, et vous cessez de nous faire le coup du "moi je suis au Bélaruss, je sais";
Soit vous êtes là-bas, et vous cesser de prendre vos fantasmes d'invasion maghrébine raciste pour une réalité. Moi j'y suis, j'y dors, j'y vis, j'y respire en vous ne me ferez pas prendre des vessies pour des lanternes.
La réalité, ce sont les 12 morts innocents qui prenaient le métro, endormis par la complaisance générale de l'illusion que le pouvoir maîtrise tout. La centaine de bléssés gouteraient très moyennement votre béatitude envers la sécurité imaginaire dont vous faîtes une publicité qui s'avère désormais plus que mensongère.